Up Jazz sous les pommiers 2012 Prev Next

5 | > Samedi 12 mai - 18h30 - Salle Marcel Hélie

Don Byron New Gospel quintet.
Au début du concert, ce n'est pas gagné. La configuration de la grande scène de la grande salle Marcel Hélie qui accueille le quintet de Don Byron, ne favorise pas la concentration de notre champ de vision. On a même le sentiment d'entendre la musique comme si les musiciens se trouvaient derrière une vitre.
Puis l'émotion s'installe et le quintet réussit à nous inviter dans son univers.
On a affaire à un Don Byron "pénétré" par la musique qu'il interprète, il est dedans, un peu "habité" (ce qui au regard de certains spectateurs est passé pour de la distance, voire de l'indifférence).
Au piano, Nat Adderley joue la confidentialité et le silence s'impose souvent. La voix de Barbara Walker, jamais forcée mais puissante et douce chante le gospel selon Thomas Dorsey. Celui qui a révolutionné, dans les années 30, la musique dans les églises afro-américaines en associant les paroles du Gospel traditionnel aux sonorités du blues.
Barbara Walker prête sa voix au Gospel-Blues, peut-être pas assez dans ce concert.

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02_TanteYvonne-CJBN_JSLP2012_byC-Ducasse_12mai
03_Bonacina-Celine_JSLP2012_12mai
04_Nguyen-Le_avecBonacina-Trio_JSLP2012_12mai
  04-3_Byron-Don_NewGospel5tet_JSLP2012_12mai.JPG - Don Byron New Gospel quintet.Au début du concert, ce n'est pas gagné. La configuration de la grande scène de la  grande salle Marcel Hélie qui accueille le quintet de Don Byron samedi 12 mai, ne favorise pas la concentration de notre champ de vision. On a même le sentiment d'entendre la musique comme si les musiciens se trouvaient derrière une vitre. Puis l'émotion s'installe et le quintet réussit à nous inviter dans son univers   On a affaire à un Don Byron " pénétré" par la musique qu'il interprète, il est dedans, un peu " habité" ( ce qui au regard de certains spectateurs est passé pour de la distance, voire de l'indifférence). Le jeu de piano de Nat Adderley joue la confidentialité et le silence s'impose souvent. La voix de Barbara Walker, jamais forcée mais puissante et douce chante le gospel selon Thomas Dorsey. Celui qui a révolutionné dans les années 30,  la musique dans les églises afro-américaines,associant les paroles du Gospel traditionnel aux sonorités du blues. Barbara Walker prête sa voix au Gospel-Blues, peut-être pas assez dans ce concert.  
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