MARTEAU MATRAQUE

Dimanche 07 février 2010, Lyon

  • Olivier Bost : trombone + compositions
  • Damien Sabatier : sax baryton
  • Baptiste Sarat : trompette
  • Emmanuel Scarpa : batterie
  • Damien Grange : voix







  Equation mathémartok

  MM = [RB * CFT] + VSI / PJ

(Marteau Matraque = Rythmique Bucheronnesque par Cuivres Fulminants et Tapageurs plus Vocaliste Sauvagement Idiomatique sur Punk Jazz)

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  • A tes souhaits. Pas de pitié. Si tu ris pas t’es mort. Ya du sex sur ta mob et ta grand-mère... Des nèfles ! Écoute aboyer les chiens, Caravan les dépasse.
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  • La brieveté concise du compte-rendu ci-dessus ne nécessite aucune explication, mais il est néanmoins imaginable de gloser sur ce combo pour dire que sa cohésion est à l’image de ses dérapages (l’aléatoire est sous contrôle), que les réminiscences fanfaronnesques qui l’habitent démontrent (le fallait-il vraiment ? ) que la vie vie campagnarde se nourrit également de cruauté, que l’excès est un genre en soi qui ne craint pas les verres surtout quand le moissonneur-batteur se prend pour Attila, que le trombone épingle tout ce qui passe, que la trompette plus haut que son Q sur un R de bastringue, que le baryton se la joue Tenor Madness et que le vocaliste développe un jazzpéranto à l’iconoclasme irréligieux, ceci ne signifiant aucunement que l’audible est inécoutable (et réciproquement), bien au contraire, à condition d’accepter l’expérience musicale comme un jimi sans bémol qui croit aux vertus du dépucelage de l’ouïe le dimanche après-midi au café de la soie (69004, France) sous l’égide des 101 marches (animées par l’increvable Bruno), à condition de savoir aussi qu’être sérieusement musicien n’a rien à voir avec Êtres qui se prennent au sérieux (ceux-là, ils mégotent sur les budgets et flinguent la création), et d’ailleurs si sur les pavés la plage, les navets dégagent. J’ai dit une connerie ?
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